Les cryptos RWA sont l’un des secteurs à s’être le plus démarqués au cours de ces derniers sur le marché. Au total, les projets situés dans cette catégorie enregistrent plus de 34 milliards de dollars de volume d’échange.
Dans cet article, on vous propose une liste non-exhaustive de 5 crypto-monnaies RWA qui, selon nous, possèdent des fondamentaux solides et apportent des avantages concrets à l’industrie.
Qu’est-ce que le narratif Real World Assets (RWA)
Les « Real World Assets » (RWA) fait référence à la tokenisation d’actifs tangibles du monde réel, comme l’immobilier, les métaux précieux, l’art, et bien d’autres. Pour faire simple : cette tokenisation consiste à créer des représentations numériques de ces actifs physiques sur une blockchain.
Il faut comprendre que chaque jeton représente une fraction de l’actif réel. Par exemple, une œuvre d’art coûteuse peut être divisée en plusieurs milliers de jetons, permettant à de nombreux investisseurs d’en posséder une partie.
Voici très rapidement les avantages apportés par la tokenisation des actifs du monde réel :
- Transparence : la blockchain assure une traçabilité complète et immuable des transactions, ce qui permet naturellement la confiance des investisseurs.
- Accessibilité : la tokenisation réduit les barrières à l’entrée pour les investissements. Ici, même avec un petit budget, les investisseurs peuvent accéder à des actifs de grande valeur, car ces derniers peuvent être fragmentés comme évoqué plus haut.
- Liquidité : les actifs tokenisés peuvent être échangés 24/7 sur des plateformes décentralisées (des marketplaces), et ça offre donc plus de flexibilité par rapport aux marchés traditionnels.
Pour en apprendre davantage sur les Real World Assets : cliquez sur ce lien
TOP 5 : Hedera (HBAR)
Souvent mise en parallèle avec Ethereum ou Bitcoin, Hedera Hashgraph joue pourtant dans une autre catégorie. Hedera est l’une des plateformes les plus actives dans la tokenisation des actifs physiques et financiers, permettant de transformer des biens comme l’immobilier, les matières premières, les œuvres d’art ou encore les titres financiers en jetons numériques échangeables sur la blockchain.
D’ailleurs, Hedera propose deux modèles : la tokenisation native via le Hedera Token Service et la tokenisation en environnement permissionné via le Hedera Consensus Service
D’ailleurs, Hedera n’est pas une blockchain à proprement parler, mais une plateforme de registre distribué basée sur une technologie différente : le hashgraph.
Son objectif : offrir une infrastructure rapide, sécurisée, écologique et assez stable pour accueillir des applications à grande échelle, notamment dans le Web3, l’entreprise ou les systèmes IoT.
Une technologie radicalement différente : le hashgraph
Alors que la plupart des blockchains empilent des blocs de transactions de manière séquentielle, Hedera repose sur un graphe orienté acyclique (DAG) associé à un mécanisme baptisé “gossip about gossip”. L’idée, c’est que les nœuds du réseau échangent des infos constamment, ce qui accélère le processus de consensus. Résultat : Hedera peut, en théorie, atteindre plus de 10 000 transactions par seconde (le max enregistré est de 3 300 transactions / s), avec une finalité d’environ 7 secondes par transaction… et à un coût quasi nul (environ 0,001 $).
En comparaison, Bitcoin gère à peine 7 transactions par seconde, Ethereum entre 20 et 30. L’écart est colossal.
Autre point fort : la sécurité. Hedera utilise le consensus asynchronous Byzantine Fault Tolerance (aBFT), considéré comme l’un des plus fiables du secteur. Et côté durabilité, le protocole est même carbone-négatif, un point qui séduit de plus en plus de grandes entreprises soucieuses de leur impact environnemental.
Voici certains des éléments clés de Hedera :
- Une plateforme économe en énergie, certifiée carbone-négative
- Une sécurité adaptée aux systèmes critiques grâce à l’aBFT
- Des frais minimes, stables, et prévisibles
Un modèle de gouvernance atypique
Contrairement aux blockchains “ouvertes” où n’importe qui peut opérer des nœuds, la gouvernance d’Hedera est assurée par un “council” de 33 entreprises internationales (statistique de mai 2025). On y retrouve Google, IBM, Boeing, Deutsche Telekom, LG, entre autres. Ces membres prennent les décisions clés du protocole, ce qui garantit une certaine stabilité, mais aussi un contrôle plus centralisé (pour l’instant). Hedera envisage cependant une ouverture progressive de son modèle dans les prochaines années.
Le token HBAR et ses usages
Le HBAR est le jeton natif d’Hedera. Il est plafonné à 50 milliards d’unités, ce qui limite l’inflation à long très terme. Le HBAR est utilisé à plusieurs niveaux :
- Paiement des frais de transaction sur le réseau
- Sécurisation du réseau grâce au staking
- Participation à la gouvernance du protocole (la gouvernance reste principalement assurée par le conseil)
Avec une distribution pensée pour éviter une sursaturation du marché, et une valorisation progressive alignée sur la croissance réelle de l’écosystème, Hedera cherche la stabilité là où d’autres projets misent sur la hype.
Une adoption en hausse dans le Web3 et au-delà
En 2025, Hedera a gagné en popularité dans plusieurs secteurs : finance, logistique, identité numérique, gaming et, bien sûr, Web3. Des projets ambitieux l’intègrent même dans l’espace, via des satellites connectés pour renforcer les dispositifs IoT. Ce genre d’initiatives témoigne d’une chose : Hedera n’est pas juste une crypto parmi d’autres, c’est un socle technologique pensé pour durer.
Hedera veut devenir l’infrastructure de référence pour les applications décentralisées de demain, en apportant une alternative viable aux limitations des blockchains traditionnelles. Maintenant, reste à voir si le projet parviendra à répondre aux attentes de ses utilisateurs, ce qui est moins évident à prévoir.
Pour en apprendre davantage sur Hedera et son jeton $HBAR : cliquez sur ce lien
TOP 4 : Centrifuge (CFG)
Centrifuge est une plateforme qui facilite la tokenisation des actifs financiers pour offrir des solutions de financement décentralisé (DeFi) aux entreprises.
L’objectif principal de Centrifuge est de permettre aux entreprises d’accéder à des liquidités en utilisant des actifs du monde réel comme garantie. Et donc, cette approche offre une alternative aux méthodes de financement traditionnelles, souvent plus lentes et coûteuses.
Le protocole Tinlake, développé par Centrifuge, permet justement de créer des pools de liquidité où les actifs tokenisés peuvent être utilisés comme garantie pour obtenir des prêts. Les entreprises peuvent ainsi accéder à des fonds rapidement et de manière transparente. Les investisseurs, quant à eux, bénéficient de rendements attractifs en investissant dans ces pools.
Centrifuge est également conçu pour être interopérable avec d’autres blockchains, ce qui facilite ainsi son intégration avec divers protocoles DeFi existants. En fait, cette interopérabilité est rendue possible grâce à l’utilisation de normes et de protocoles communs, permettant donc une communication relativement fluide entre les différentes plateformes.
Caractéristiques principales :
- Tokenisation des actifs financiers : Permet aux entreprises de convertir leurs actifs en tokens pour accéder à des liquidités.
- Protocole Tinlake : Une plateforme de financement décentralisé qui utilise les tokens pour offrir des prêts garantis par des actifs.
- Interopérabilité : Centrifuge est conçu pour être compatible avec d’autres blockchains, facilitant l’intégration avec divers protocoles DeFi.
- Sécurité et transparence : Utilisation de la blockchain pour garantir la sécurité et la transparence des transactions.
A quoi sert le jeton $CFG ?
Le jeton $CFG est le jeton natif de Centrifuge et sert plusieurs objectifs :
- Paiement des frais de transaction : Utilisé pour payer les frais de transaction sur le réseau Centrifuge.
- Gouvernance : Les détenteurs de $CFG peuvent participer aux décisions de gouvernance du réseau.
- Staking : Les utilisateurs peuvent staker leurs $CFG pour sécuriser le réseau et recevoir des récompenses.
TOP 3 : Mantra (OM)
Mantra est un écosystème blockchain intégré « verticalement« , également connu sous le nom d’OMniverse. L’objectif de Mantra est de créer un environnement sécurisé, transparent et surtout décentralisé pour la finance, en combinant divers services blockchain sous une même plateforme. L’OMniverse est constitué de plusieurs composantes, chacune ayant leur propre rôle spécifique.
On retrouve également « MANTRA Nodes« , une des composantes les plus importante de cet écosystème. En fait, elle fournit des services d’infrastructure blockchain, y compris la gestion des nœuds et le staking, permettant ainsi aux utilisateurs de participer activement au réseau tout en générant des revenus.
D’autre part, MANTRA Chain, une autre composante, est un protocole conçu pour l’écosystème Cosmos, qui offre une compatibilité EVM et des capacités d’interopérabilité grâce au protocole IBC (Inter-Blockchain Communication) que vous devez sûrement connaitre.
Au final, on peut dire que MANTRA Finance vise à apporter les avantages de la finance décentralisée (DeFi) à la finance traditionnelle (TradFi). En effet, elle propose un environnement où les utilisateurs peuvent trader, émettre et gagner des actifs numériques de manière non-custodiale et sans autorisation.
Caractéristiques principales de Mantra :
- MANTRA Nodes : Fournit des services d’infrastructure blockchain comme la gestion des nœuds et le staking.
- MANTRA Chain : Un protocole pour l’écosystème Cosmos, compatible EVM et IBC.
- MANTRA Finance : Une plateforme DeFi qui vise à apporter la transparence et la rapidité de la DeFi au monde de la finance traditionnelle.
- MANTRA DAO : Offre des services de gouvernance décentralisée et de gestion de trésorerie pour diverses DAOs.
A quoi sert le jeton $OM ?
Le jeton $OM est le jeton natif de l’écosystème MANTRA avec plusieurs utilisations :
- Gouvernance : Les stakers de $OM peuvent proposer des améliorations et voter sur des décisions importantes.
- Staking : Les utilisateurs peuvent staker $OM pour gagner des récompenses.
- Accès à des tokens DAO : Les stakers de $OM ont accès à de nouveaux tokens DAO et à des airdrops.
TOP 2 : Maker (MKR)
Lorsqu’on parle de finance décentralisée (DeFi), difficile de passer à côté de MakerDAO. C’est l’un des projets fondateurs du secteur, à l’origine du stablecoin DAI, une monnaie numérique indexée sur le dollar, mais sans banque centrale derrière. Depuis 2014, MakerDAO a construit un écosystème où les utilisateurs peuvent emprunter, prêter et gérer de la monnaie de manière autonome, uniquement à l’aide de smart contracts sur Ethereum. Notez que le lancement public du protocole MakerDAO et du DAI a eu lieu en décembre 2017.
De plus, MakerDAO est devenu assez important dans le secteur RWA, en intégrant progressivement des actifs du monde réel, tels que les bons du Trésor américain, dans son portefeuille de collatéraux. D’ailleurs, en 2023-2024, la majorité des revenus de MakerDAO provenait des RWA : jusqu’à 80 % des revenus de commissions du protocole sont issus de ces actifs.
Comment fonctionne MakerDAO, exactement ?
Le principe est assez simple : vous pouvez déposer des cryptomonnaies (comme de l’Ether ou des tokens acceptés) dans ce qu’on appelle des coffre-forts (“Vaults”) pour émettre des DAI. Cette émission repose sur un système de surcollatéralisation. C’est-à-dire que pour chaque DAI créé, il y a plus de valeur en garantie que ce que vous sortez. Cela permet de garantir la stabilité du DAI, même en cas de forte volatilité du marché.
Mais si les prix s’effondrent ou si un utilisateur ne peut pas rembourser, alors le protocole liquidera automatiquement le dépôt, un mécanisme essentiel pour que le système s’autorégule sans aide extérieure.
La gouvernance, entre les mains des détenteurs de MKR
MKR est (encore pour peu de temps) le jeton principal du protocole. Il donne aux détenteurs un rôle central dans la gouvernance :
- Voter sur les taux d’intérêt appliqués aux emprunts en DAI
- Ajouter ou retirer des types d’actifs acceptés comme collatéral
- Modifier les paramètres de risque, ou valider des mises à jour du protocole
Ce système participatif permet d’adapter en continu les règles du protocole aux conditions du marché. Autrement dit, si les risques changent, la communauté peut faire évoluer les paramètres en conséquence.
Un autre élément important : le mécanisme d’urgence. En cas de problème majeur, les détenteurs de MKR peuvent voter un « Emergency Shutdown« , qui permet de tout figer, liquider les coffres, rembourser les utilisateurs, et protéger l’écosystème.
Le MKR joue plusieurs rôles dans le système : gouvernance, certes, mais aussi paiements de frais, couverture des pertes si le protocole est en difficulté. Et sa dynamique est déflationniste : une partie des frais payés en MKR peut être brûlée, ce qui réduit l’offre totale avec le temps.
Quelques chiffres :
- Offre maximale : 1,01 million de MKR
- Offre en circulation (mai 2025) : ~685 000 MKR
Une transition vers SKY : la prochaine étape de l’écosystème
En 2025, MakerDAO franchit un cap majeur avec son plan “Endgame” : le remplacement du MKR par un nouveau jeton, le SKY. Ce choix est stratégique. L’idée est de simplifier la gouvernance (jugée trop technique ou complexe) et de rendre le système plus modulable tout en offrant de meilleures récompenses aux membres actifs.
À partir de maintenant, les votes de gouvernance et les mécanismes de staking se feront donc avec le jeton SKY. Le protocole reste le même dans sa vision, mais il entre dans une phase plus stratégique et tournée vers l’optimisation à grande échelle.
Pourquoi MakerDAO reste une référence dans la DeFi ?
- Une gouvernance entièrement décentralisée et stable depuis des années
- Le DAI, l’un des stablecoins les plus utilisés et les plus résilients du marché
On peut aussi souligner la capacité du projet à évoluer : beaucoup ont tenté de lancer des monnaies stables ou des systèmes de prêt décentralisés, peu l’ont fait avec autant de rigueur. Avec la transition vers SKY, MakerDAO montre qu’il ne se repose pas sur ses acquis. Il continue d’adapter ses outils à la réalité de la finance décentralisée moderne, tout en restant fidèle à ses principes d’ouverture, de transparence et d’autonomie.
TOP 1 : Ondo Finance
Comment ne pas parler de Ondo Finance, le leader du marché des Real World Assets (RWA).
Pour vous l’expliquer simplement, Ondo Finance est une plateforme décentralisée qui se concentre sur la tokenisation d’actifs du monde réel (RWA), dont principalement des Bons du Trésor Américain.
L’approche d’Ondo consiste à créer des produits financiers décentralisés qui utilisent des actifs réels comme garantie. Cela inclut des prêts garantis par des actifs, des produits de rendement, et d’autres solutions financières qui bénéficient de la transparence et de la sécurité de la blockchain. Ondo utilise des protocoles décentralisés pour assurer que les transactions sont sécurisées et que les utilisateurs ont un contrôle total sur leurs actifs.
Ondo Finance est conçu pour être interopérable avec diverses blockchains, ce qui facilite ainsi son intégration avec d’autres protocoles DeFi. Cette interopérabilité permet à Ondo de tirer parti de la liquidité et des fonctionnalités des autres plateformes blockchain, offrant ainsi une expérience utilisateur améliorée.
Récemment, Ondo Finance a d’ailleurs transféré 95 millions de dollars vers le nouveau fonds tokenisé BUIDL de BlackRock.
Caractéristiques principales de Ondo Finance :
- Services financiers décentralisés : Offre des produits financiers utilisant des actifs réels comme garantie pour fournir des solutions de financement plus transparentes et accessibles.
- Interopérabilité : Conçu pour être compatible avec diverses blockchains et protocoles DeFi.
- Sécurité et transparence : Utilisation de la blockchain pour assurer la sécurité et la transparence des transactions financières.
A quoi sert le jeton $ONDO ?
Le jeton d’Ondo est utilisé pour plusieurs fonctions essentielles au sein de la plateforme :
- Gouvernance : Permet aux détenteurs de participer aux décisions de gouvernance de la plateforme.
- Staking : les utilisateurs peuvent staker leurs jetons pour sécuriser le réseau et recevoir des récompenses.
- Paiement des frais : utilisé pour couvrir les frais de transaction et autres services sur la plateforme Ondo.
Pour en apprendre davantage sur Ondo Finance et son jeton $ONDO : cliquez sur ce lien
Bonus : Quant (QNT)
En crypto, chacun parle souvent de “sa” blockchain. Ethereum d’un côté, Bitcoin de l’autre, Solana entre les deux… mais très peu de projets cherchent vraiment à les connecter de manière fluide. Quant, lui, a choisi de s’attaquer à ce problème de fond : comment créer un pont fiable entre tous ces écosystèmes ? Et surtout, sans s’enfermer dans l’un d’eux.
Cette approche ouvre aussi la porte à une « nouvelle » génération d’actifs où même des éléments du monde réel (Real World Assets, RWA) peuvent circuler librement entre les réseaux.
Quant veut faire pour la blockchain ce que l’Internet a fait pour les réseaux informatiques : rendre tout le monde compatible.
Overledger : un OS pour relier tous les mondes
Au centre du projet, il y a Overledger. C’est une technologie qui agit comme un “système d’exploitation” multi-chaînes. Plutôt que de créer une nouvelle blockchain, Quant propose une couche qui s’adapte à toutes les autres.
Son principe repose sur une architecture en strates :
- Blockchain Layers : chaque blockchain est connectée dans son propre environnement, sans en altérer le fonctionnement
- Gateway & Application Layers : des passerelles assurent la communication inter-chaînes, et permettent aux applis décentralisées (dApps) d’interagir avec plusieurs blockchains à la fois
Cette approche “multi-réseaux” donne à Overledger une flexibilité énorme. Elle lui permet de connecter aussi bien Bitcoin que des blockchains privées d’entreprises, avec une faible latence, une bonne sécurité, et surtout aucune dépendance à un écosystème unique.
Des usages très concrets dans plusieurs secteurs
Quant n’est pas un projet théorique. Il est déjà utilisé dans plusieurs domaines clés, et souvent en partenariat avec des institutions de premier plan. L’idée n’est pas seulement de créer un pont entre blockchains pour le plaisir technologique, mais pour des cas d’usage bien réels :
- En finance : Quant travaille avec des banques centrales (comme la Banque d’Angleterre) sur l’émission de monnaies numériques (CBDC) ou les paiements transfrontaliers
- Dans la supply chain : traçabilité, paiements automatisés, et intégration de solutions comme Oracle pour un meilleur suivi logistique
- Dans la DeFi : exécution de smart contracts sur plusieurs blockchains en simultané, pour réduire les coûts et maximiser la vitesse
Le tout, sans que l’utilisateur final voie la complexité qu’il y a derrière.
QNT : un token avec une vraie utilité
Le jeton QNT permet l’accès aux services d’Overledger. Pour les entreprises, cela signifie qu’il faut en détenir pour pouvoir utiliser les API, déployer des applications et bénéficier de son infrastructure. Ce n’est donc pas un simple jeton “utilitaire”, c’est un ticket d’entrée dans l’écosystème.
Quelques informations clés :
- Offre plafonnée à 14,88 millions de tokens, dont quasiment tous sont déjà en circulation début 2025
- Les QNT sont requis pour régler les licences, les services et potentiellement pour le staking et la gouvernance à venir
Pour faire simple : plus il y a d’adoption, plus la pression sur l’offre augmente, ce qui rend la tokenomics de QNT particulièrement solide si l’écosystème continue à s’étendre.
Pourquoi le projet suscite autant d’intérêt ?
Quant ne se contente pas de promettre l’interopérabilité : il la construit, avec une orientation très pro, tournée vers l’entreprise et la finance institutionnelle. Et ça change tout. Le projet n’essaie pas de tout réinventer, il cherche à connecter les pièces du puzzle, ce qui en fait une infrastructure clé pour le Web3 de demain.
En deux points, ce qu’il faut retenir :
- Une technologie qui permet aux blockchains (publiques et privées) de se parler nativement, sans hacks ou solutions bricolées
- Une vision à long terme portée par des partenariats solides (banques centrales, entreprises tech, etc.), ce qui donne une vraie crédibilité à l’ensemble
La promesse de Quant, c’est celle d’un futur blockchain interconnecté. Et rien que pour ça, ça mérite qu’on y prête attention.
Pour en apprendre davantage sur Quant et son jeton $QNT : cliquez sur ce lien