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Le documentaire “Money Electric: The Bitcoin Mystery” diffusé sur HBO avance que Peter Todd, un développeur influent dans la communauté Bitcoin, pourrait être Satoshi Nakamoto, le mystérieux créateur du Bitcoin.
Cependant, Todd a rapidement nié cette allégation sur les réseaux sociaux, avant même la diffusion du documentaire. Le film, réalisé par Cullen Hoback, présente plusieurs indices liant Todd à Nakamoto, notamment des échanges sur Bitcointalk et la promotion de la fonctionnalité de remplacement par frais (RBF). Malgré ces révélations, la communauté crypto reste sceptique, et le mystère autour de l’identité de Satoshi demeure.
Depuis la disparition de Satoshi Nakamoto en 2010, son identité est l’un des sujets les plus débattus dans la communauté Bitcoin. Bien que plusieurs théories aient émergé, aucune preuve concluante n’a été apportée. Le documentaire relance le débat, mais beaucoup estiment que les éléments avancés sont insuffisants.
Optimism a lancé son cinquième airdrop, distribuant 10,3 millions de tokens OP, d'une valeur d'environ 16 millions de dollars, à 54 700 adresses ayant interagi avec la Superchain entre mars et septembre 2024.
Les utilisateurs éligibles sont ceux ayant interagi avec au moins 20 smart contracts sur différentes chaînes de l'écosystème, avec des récompenses supplémentaires pour ceux ayant délégué des tokens OP ou interagi avec sept chaînes ou plus.
Les participants ont jusqu'au 13 février 2025 pour réclamer leurs tokens via le site officiel d'Optimism.
Cette initiative fait partie d'une série d'airdrops qu'Optimism a lancés depuis 2022, avec pour objectif de récompenser ses utilisateurs les plus actifs et d'encourager la croissance de l'écosystème DeFi. En offrant ces distributions, Optimism cherche à renforcer l'adoption de ses solutions de layer 2, tout en stimulant la participation des utilisateurs à la gouvernance et au développement de son réseau décentralisé.
Uniswap Labs a lancé Unichain, une blockchain layer 2 basée sur la technologie OP Stack d'Optimism, pour offrir des transactions plus rapides et moins coûteuses tout en améliorant la liquidité de sa plateforme DeFi.
Ce projet s'intègre au réseau Superchain d'Optimism & Base.
Ce layer 2 propose de générer de nouveaux blocs en 200 à 250 millisecondes, contre 12 secondes sur Ethereum limitant ainsi les possibilités de MEV.
Unichain vise à réduire les coûts de transaction, tout en renforçant la sécurité grâce à un environnement d'exécution sécurisé (TEE) et un réseau de validation décentralisé, prévu pour 2025.
Unichain permettra de également de faire du staking avec les tokens UNI pour gagner des revenus générés par le / les séquenceurs du réseau, agumentant ainsi grandement l'utilité du token UNI.
Uniswap cherche à se positionner comme un centre majeur de la DeFi, capable de se connecter à plusieurs chaînes, tout en profitant des avantages technologiques et économiques de l'écosystème Optimism.
On peut noter que, contrairement à ce que beaucoup de monde pense, Unichain ne se limitera pas à l'hébergement de l'application Uniswap, les développeurs pourront également héberger leurs applications sur son réseau.
Le FBI a officiellement infiltré l'univers des cryptomonnaies en créant un faux token, le “NexFundAI Token” afin de piéger des entreprises impliquées dans des manipulations du marché pour s'enrichir.
Cette opération a conduit à l'inculpation de plusieurs sociétés, notamment Gotbit et ZM Quant, accusées de gonfler artificiellement les prix et volumes d’échanges de certains tokens, tels que Saitama et Robo Inu, pour tromper les investisseurs. Ces entreprises utilisaient des pratiques illégales de “market-making” pour attirer de nouveaux investisseurs en faussant la demande apparente de ces cryptomonnaies.
Baijun Ou et Ruiqi Liu, aux côtés de deux autres complices non nommés, auraient manipulé le volume de trading et les prix de plusieurs cryptomonnaies, profitant ainsi de la volatilité du marché pour s'enrichir. ZM Quant aurait proposé des services illégaux à ses clients, les aidant à gonfler artificiellement les prix des cryptomonnaies en utilisant des stratégies frauduleuses de “market-making”.
Un exemple de ces pratiques illégales concerne le token Saitama, dont le prix aurait été gonflé grâce à une manipulation coordonnée via un groupe privé sur Telegram de la part de ZM Quant. L'entreprise permettait aux fraudeurs d’augmenter le volume de trading du token sur des plateformes comme BitMart, créant ainsi une illusion de demande accrue pour attirer de nouveaux investisseurs.
De son côté, Gotbit a été accusée d'avoir manipulé le volume d'échanges du token Robo Inu, le faisant grimper à 1 million de dollars. Cette stratégie frauduleuse avait pour objectif de rendre le token plus attractif et crédible aux yeux des investisseurs, masquant ainsi sa véritable valeur et son manque de liquidité.
Cette initiative, en collaboration avec d'autres agences comme la SEC et les procureurs fédéraux, a permis de démanteler un réseau complexe de fraude. Grâce à des plateformes de messagerie comme Telegram, les fraudeurs coordonnaient leurs actions pour créer une illusion de demande accrue.
MicroStrategy, sous la direction de Michael Saylor, vise à devenir la première grande “banque bitcoin” en accumulant massivement du BTC et en misant sur sa croissance à long terme.
L’entreprise possède déjà 252 220 bitcoins, d'une valeur de plus de 15 milliards de dollars, et prévoit d’emprunter à bas taux pour investir davantage dans cet actif.
Mr Saylor estime que cette stratégie pourrait valoriser l'entreprise à plus de 1 000 milliards de dollars, en profitant de la croissance exponentielle du prix du bitcoin.
La vision de Saylor repose sur l’idée que le bitcoin est l'actif le plus précieux au monde, avec un potentiel de croissance énorme. Il prévoit que le prix du BTC pourrait atteindre des millions de dollars, ce qui transformerait MicroStrategy en un acteur majeur des marchés financiers bitcoin. En combinant instruments financiers et dettes à faible coût, l’entreprise se positionne de manière unique, difficile à reproduire, renforçant son rôle central dans l'écosystème bitcoin.
Le DEX Hyperliquid a temporairement fermé son bridge vers Arbitrum suite à des données erronées provenant des appels RPC, causant une perte de synchronisation entre Arbitrum & Ethereum.
Un mécanisme de sécurité a immédiatement déclenché la fermeture du bridge pour protéger les fonds des utilisateurs. Bien que l'incident ait duré environ quatre heures, aucun fond n'a été compromis.
Hyperliquid a expliqué que cet incident était dû à une anomalie technique rare. L’un des développeurs pseudonymes du projet, iliensinc, a indiqué sur Discord qu’un ensemble de serveurs RPCs, des ordinateurs permettant de connecter les utilisateurs et les applications aux réseaux blockchain, fournissait des données incohérentes.
Cet incident, considéré comme un faux positif, a été causé par des données incohérentes provenant de plusieurs RPCs. Bien qu'il soit rare que plusieurs points de terminaison se synchronisent sur des données obsolètes, cela a suffi à activer le verrouillage. Hyperliquid a confirmé que des améliorations seront apportées à l'infrastructure RPC pour éviter de telles anomalies à l'avenir, sans compromettre la sécurité des utilisateurs.
