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Paul Grewal, responsable juridique chez Coinbase, soutient fermement qu'il n'existe aucune justification valable pour que la SEC rejette les propositions d'ETF Ethereum Spot, en s'appuyant sur le statut d'Ethereum comme commodité et sur des déclarations réglementaires antérieures.
Cet argument survient dans un contexte où la classification d'Ethereum, surtout après son passage à un mécanisme de consensus proof-of-stake, fait l'objet de discussions intensives.
Alors que la décision de la SEC reste incertaine, Grewal et d'autres défenseurs de l'approbation de l'ETF Ethereum Spot mettent en avant la position historique d'Ethereum comme non-security et sa distinction des valeurs mobilières traditionnelles, malgré les défis réglementaires et les spéculations sur son avenir légal.
La stratégie de “Rainbow Staking“ introduite par Vitalik Buterin se scinde en deux formes : “heavy staking”, qui implique des sanctions et la responsabilité de signer à chaque intervalle, et “light staking”, exempt de sanctions et désigné aléatoirement pour signer. Cette distinction a pour but d'accroître la sécurité du réseau Ethereum en nécessitant l'accord de deux catégories de stakers pour l'approbation d'un bloc, visant à équilibrer les mérites sécuritaires de chaque type tout en évitant qu'un seul token de staking liquide prenne le dessus sur l'ETH.
L'initiative “Rainbow Staking” entend revaloriser la position du “solo staker” en encourageant une compétition équitable, tout en reconnaissant la nécessité d'approfondir la recherche pour affiner ce concept. Buterin soulève aussi des considérations philosophiques sur l'engagement des possesseurs d'ETH qui cherchent à générer des revenus passifs tout en soutenant la sécurité de la plateforme.
Plus d'infos : https://coinacademy.fr/actu/eth-vitalik-combattre-centralisation-ethereum-rainbow-staking/
« Pour moi, les plus grandes questions ici ne sont même pas techniques ; elles sont philosophiques, » a dit Buterin, notant qu'il est important de comprendre la réponse visée derrière les moyens de permettre aux « détenteurs d'ETH paresseux » qui veulent des récompenses de participer à la sécurisation du réseau Ethereum.
Ether.fi, leader en restaking liquide sur Ethereum, annonce le lancement de son token de gouvernance ETHFI, avec une redistribution suite aux inquiétudes de la communauté concernant l'allocation initiale.
Face à l'attribution controversée de 6% de l'airdrop à Justin Sun après un dépôt notable, et aux retours de la communauté, Mike Silagadze, fondateur d'Ether.fi, augmente la part des membres de la communauté dans l'airdrop.
Ether.fi a défini un approvisionnement total de un milliard de tokens, avec une mise en circulation initiale prévue de 115,2 millions de tokens.
La première étape de distribution, dénommée Saison 1, va débloquer 6% de cette offre totale, tenant compte des interactions avec le protocole jusqu'au 15 mars 2024. Suivant cela, la Saison 2 attribuera 5% de l'offre pour des actions réalisées après cette date, bien que la fin de cette phase ne soit pas spécifiée.
L'admissibilité pour cet airdrop varie et peut inclure la possession d'eETH, l'engagement avec le protocole, le parrainage de nouveaux membres ou la participation dans des pools de liquidité. Notamment, un nouveau système impose un délai de trois mois pour que les “portefeuilles baleines” réclament leurs tokens, alors que les détenteurs de portefeuilles plus petits peuvent le faire immédiatement.
En réponse aux évolutions réglementaires en Europe, OKX modifie son offre de trading en retirant les paires en USDT au profit des paires en EUR et USDC.
Cette décision s'aligne sur la législation MiCA (Markets in Crypto-Assets) de l'Union Européenne, qui vise à réguler les stablecoins et autres actifs cryptographiques. Bien que les raisons exactes du retrait des paires USDT ne soient pas explicitement liées aux régulations MiCA, les références aux “exigences réglementaires” suggèrent une adaptation proactive de OKX aux normes en vigueur.
L'annonce est accompagnée de l'introduction de plus de 30 nouvelles paires de trading en euro, anticipant les défis de conformité et les spécifications de la législation MiCA, prévue pour une application complète d'ici fin 2024.
Rappel : la législation MiCA (Markets in Crypto-Assets) de l'Union Européenne est prévue pour entrer pleinement en vigueur fin 2024, avec une mise en application anticipée des règles concernant les stablecoins dès le deuxième trimestre de 2024.
Light révolutionne l'utilisation des chaînes EVM avec des avancées telles que l'abstraction de réseau, la gestion unifiée des actifs cross-chain, et les transactions en lot, offrant une expérience utilisateur fluide et unifiée.
Cette plateforme introduit une méthode permettant de réaliser des transactions multi-chaînes en utilisant n'importe quel actif pour les frais, ainsi qu'un portefeuille intelligent unique pour une gestion simplifiée des actifs sur toutes les chaînes.
Light propose également la possibilité d'effectuer des transferts d'actifs multiples en une seule opération, révolutionnant l'interaction avec les blockchains compatibles EVM. En s'engageant dans une démarche 100% open source, Light ambitionne de faciliter l'adoption de ses innovations, promettant une amélioration significative de l'interopérabilité et de l'expérience utilisateur dans l'écosystème blockchain.
Imaginez effectuer un paiement en USDC sur Arbitrum et Optimism, tout en couvrant les frais de transaction (gas) en USDT sur Polygon, le tout en une seule transaction. C'est ce que propose Light, qui permet également de payer les frais de gas avec n'importe quel actif détenu sur ces blockchains.
BlackRock, colosse de la gestion d'investissements, franchit un pas décisif dans l'univers des crypto monnaies avec le lancement du fonds d'actifs tokenisés BlackRock USD Institutional Digital Liquidity Fund, en collaboration avec Securitize.
Initialisé avec 100 millions de dollars en USDC, ce fonds, basé sur la blockchain Ethereum, s'inscrit dans la continuité de l'exploration de BlackRock des actifs numériques, marquée précédemment par le succès de son ETF Bitcoin Spot.
Avec ce mouvement, BlackRock non seulement affirme sa position dans la tokenisation des actifs réels mais envisage également une révolution dans la finance traditionnelle, promettant rapidité et efficacité accrues dans les transactions et la gestion d'actifs.
Cette initiative pourrait marquer un tournant significatif pour l'avenir de la tokenisation, répercutant immédiatement sur le secteur avec une augmentation de 20% du token ONDO de la plateforme RWA : Ondo Finance.
