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Le cofondateur d'Ethereum, Vitalik Buterin, a mis en lumière une vérité surprenante concernant les solutions de couche 2 (L2) sur le réseau Ethereum.
Il a révélé que chacune de ces solutions possède ce qu'il appelle des “roues d'entraînement” ou des portes dérobées de développeurs. Ces portes dérobées sont des failles intentionnelles qui permettent aux développeurs d'intervenir, de stopper ou de modifier le protocole en cas de problèmes ou de bugs. Cette mesure de sécurité a émergé en réponse aux risques de bugs de smart contracts, qui ont eu des conséquences dévastatrices par le passé.
Bien que ces protocoles L2 soient encore quelque peu centralisés, les équipes derrière eux envisagent de retirer ces portes dérobées à mesure qu'ils gagnent en confiance dans la stabilité de leurs protocoles, tout en cherchant des mécanismes de mise à niveau décentralisés pour assurer leur sécurité à long terme.
Dans le contexte complexe de la législation sur les cryptomonnaies, Alameda Research de FTX a obtenu le droit de réclamer 175 millions de dollars sur les actifs en faillite de Genesis, loin des 4 milliards de dollars initialement réclamés.
Cet accord n'est pas seulement une question financière. Avec plusieurs entreprises cryptos ayant fait faillite et des relations financières entrelacées, le paysage juridique s'est complexifié. Le règlement actuel est vu par de nombreux experts juridiques comme un moyen d'accélérer le processus de liquidation des affaires d'entreprise et de remboursement aux clients.
La confirmation de cet accord par le tribunal vise à simplifier le “plan de réorganisation du chapitre 11” de Genesis, minimisant ainsi les coûts liés aux litiges prolongés.
Après une phase testnet réussie, Sei Labs a lancé son Mainnet pour son Layer 1, marquant par la même occasion l'entrée du token SEI sur des plateformes d'échange majeures comme Binance et Kraken.
L'entreprise, soutenue par des entités de renom telles que Jump Crypto et Flow Traders, a l'ambition de transformer l'échange d'actifs, qu'ils soient liés au divertissement, aux réseaux sociaux ou aux NFT.
Jeff Feng, co-fondateur de Sei Labs, a souligné que leur vision ne se limite pas à la finance décentralisée (DeFi). Ils visent à se concentrer davantage sur les plateformes sociales, le jeu vidéo et les crédits carbone, offrant une vitesse supérieure à de nombreuses autres blockchains. Cependant, la décision de l'entreprise de ne pas offrir d'airdrop de tokens SEI immédiatement après le testnet a déçu une partie de la communauté.
Coinbase, l'une des plus grandes plateformes d'échange de crypto-monnaies basées aux États-Unis, vient de franchir une étape décisive en obtenant l'approbation pour coter les futures crypto.
Cette victoire, presque deux ans en préparation, fait de Coinbase le premier acteur du marché de la crypto aux États-Unis à intégrer le trading des futures réglementés à effet de levier au trading spot traditionnel. Cette autorisation renforce la position du pays en matière de surveillance réglementaire sur les marchés des crypto-monnaies, assurant la protection des consommateurs tout en favorisant l'innovation numérique.
L'approbation a été accordée à Coinbase Financial Markets par la National Futures Association (NFA), un organisme de régulation autonome reconnu par la Commodity Futures Trading Commission (CFTC) pour superviser l'achat et la vente de contrats à terme. Cette demande d'adhésion de Coinbase auprès de la NFA avait été initiée en septembre 2021.
Les récentes divulgations ont mis en lumière l'engagement substantiel de Donald Trump dans le domaine des crypto-monnaies. Selon des documents officiels fournis par Citizens for Responsibility and Ethics in Washington, l'ancien président des États-Unis détiendrait plus de 2,8 millions de dollars en ETH, un montant bien supérieur aux estimations précédentes de 500 000 dollars.
Par ailleurs, malgré les réserves exprimées pendant son mandat, Trump a plongé dans l'univers des NFT avec son initiative “Trump Digital Collectible Cards”, accumulant des droits de licence d'environ 4,87 millions de dollars.
L'influence des crypto-monnaies s'accentue sur le paysage politique américain. Robert F. Kennedy Jr. et Robert DeSantis sont parmi ceux qui ont intégré les monnaies numériques dans leurs discours et projets politiques.
Suite aux récentes révélations concernant Trump, Arkham Intelligence, une entreprise spécialisée en blockchain, affirme avoir découvert l'adresse crypto spécifique de Trump, confirmant ainsi ses investissements massifs en ETH et d'autres monnaies comme wETH, MATIC et USDC.
Dans le cadre de la saga judiciaire impliquant Ripple Labs, la juge Analisa Torres a donné son accord à la Securities and Exchange Commission des États-Unis (SEC) pour introduire un appel interlocutoire. Cette décision intervient après la soumission d'une lettre par la SEC, le 9 août, indiquant les implications possibles de ses jugements sur les différentes affaires judiciaires actuellement en cours.
Par ailleurs, le 13 juillet, la même juge a statué que le token XRP de Ripple n'était pas considéré comme un titre lors de ses ventes au grand public. Toutefois, elle a clarifié que le XRP était traité comme un titre lorsqu'il s'agissait de transactions institutionnelles. Cette controverse juridique a débuté en décembre 2020, lorsque la SEC a lancé des poursuites contre Ripple, mettant en cause ses deux principaux dirigeants, Brad Garlinghouse et Chris Larsen, pour avoir prétendument promu un titre non enregistré.
Suite à la décision d'OpenSea d'abandonner le « filtre opérateur », Yuga Labs pourrait envisager de quitter la plateforme phare de NFT. Introduit en novembre 2022, ce filtre permettait aux artistes NFT de restreindre leurs ventes à des marchés qui imposaient des frais de créateurs (royalties) sur les transactions secondaires. Cependant, avec de nombreux acteurs ne respectant pas cette approche, OpenSea a décidé de passer à une politique de frais optionnels, cherchant ainsi à aligner davantage avec les valeurs d'un écosystème décentralisé.
Réagissant vivement à ce changement, Yuga Labs a exprimé son mécontentement par l'intermédiaire de son PDG, Daniel Alegre. Il a rappelé l'engagement de l'entreprise envers un écosystème où les créateurs sont dûment récompensés. Dans la foulée de cette décision d'OpenSea, Yuga Labs a annoncé qu'ils commenceront à retirer leur support du SeaPort d'OpenSea d'ici février 2024, soulignant leur croyance dans la protection des royalties des créateurs.
