Valorisé à plus de 65 milliards de dollars, le marché de l'art traditionnel présente de nombreux obstacles, notamment des prix élevés et un accès limité aux investisseurs ordinaires, rendant l'acquisition et la vente d'œuvres d'art inaccessibles pour beaucoup.
Artrade, une marketplace d’art RWA, vient de passer à un tout autre niveau en lançant sa nouvelle fonctionnalité “Fragments” qui rend ce marché beaucoup plus liquide et accessible pour les petits portefeuilles.
Cet article vous est proposé en collaboration avec Artrade (en savoir plus)
Artrade Fragments – rendre l’art beaucoup plus accessible :
Revenons déjà sur le concept même d’Artrade. Concrètement, Artrade est une marketplace décentralisée qui vise à démocratiser l'accès à l'art en utilisant la technologie blockchain.
Elle permet de tokeniser, d’acheter et de vendre des œuvres d’art provenant du monde réel. Autrement dit : Artrade transforme les œuvres les d’art physiques en RWA (Real Word Assets) échangeables directement sur la blockchain Solana sous forme de NFT.
Un autre point intéressant est l'utilisation d’un protocole nommé “Real” (Reliable Eletronic Artwork Ledger). Cette technologie est utilisée pour garantir l'authenticité et l'origine d'une œuvre. Pour ce faire, Real enregistre toutes les informations pertinentes d'une œuvre, comme son historique de propriété et ses transactions, directement sur la blockchain.
Pour en apprendre davantage sur Real 👉 cliquez sur ce lien
Vous l’aurez compris, l'idée principale est de rendre le secteur de l’art beaucoup plus accessible, transparent et liquide grâce à la blockchain.
Maintenant, Artrade est sur le point d’introduire une toute nouvelle fonctionnalité : les “Fragments”, soit des parts fractionnées que n'importe qui peut acheter et vendre, et ce, sans avoir besoin de grosses sommes d'argent. Nous vous proposons d’entrer dans les détails dans cette technologie 👇
Les Fragments sont des parts fractionnées d'œuvres d'art qui permettront à chacun d'investir avec des sommes bien moindres que s'ils devaient acheter une œuvre entière.
Il faut les voir comme des tokens représentant chacun une portion de la propriété de l'œuvre, et ce, sécurisée par la blockchain. C’est-à-dire que lorsque vous achetez un Fragment, vous devenez, en théorie, propriétaire d'une fraction de cette œuvre d'art, et ce, de façon proportionnelle à votre investissement.
Plus précisément : vous devenez propriétaire d'un jeton qui, lui, est associé à l'œuvre d'art. Artrade détiendra l’œuvre physique dans un entrepôt sécurisé et spécialisé dans la conservation d’œuvres d’art.
Tenez, prenons un exemple concret : supposons qu'une peinture coûte 1 million d'euros. Artrade divise cette peinture en 1 million de Fragments tokenisés. Chaque Fragment vaut alors 1 euro. Vous pouvez acheter autant de Fragments que vous le souhaitez, selon votre budget.
Initialement accessible via une presale avec un minimum d’achat de 500$, ces jetons seront ensuite tradables sur les DEX (échanges décentralisés) sans aucun minimum d'investissement !
Voici ce que cette fragmentation offre :
Il faut savoir que la première offre de Fragments concernera une œuvre d'art réalisée par un “grand nom de l'art“ qui figurerait parmi les 10 plus grands au monde. Le projet précise que chaque jeton (fragment) suivra un ratio 1:1 avec le prix en dollar de l'œuvre. Par exemple, si l'œuvre d'art vaut 1 million de dollars, il y aura 1 million de jetons créés, chacun valant un dollar.
Comme tout token, la valeur des Fragments pourra augmenter ou diminuer en fonction de la popularité et de la valeur de l'œuvre d'art.
Artrade précise que les détenteurs de fragments ayant participé à la presale se verront attribuer de nombreux avantages, comme l'accès à des airdrops en jetons ATR, des whitelist, un club privé ou encore des événements IRL où l'œuvre sera exposée.
Le jeton ATR est la monnaie native du projet Artrade. Initialement lancé sur le réseau Binance Smart Chain (BSC) via une ICO en 2022, ce dernier a récemment (en février 2024) été migré vers la blockchain Solana afin de s’intégrer à la plateforme.
Notez que la max supply (quantité maximale) du ATR a été fixée à 1,8 million de jetons.
Revenons désormais sur les fonctions importantes du ATR :
Mais ce n’est pas tout. Artrade a mis en place un programme de “burn” pour le jeton ATR afin de contrôler son approvisionnement sur le long terme.
Chaque jour, 5% des commissions de la plateforme sont utilisées pour racheter des jetons sur le marché, qui sont ensuite détruits (burn), c'est-à-dire retirés de la circulation de manière permanente. Étant donné que ce mécanisme réduit le nombre total de jetons en circulation, cela augmente mécaniquement leur rareté et potentiellement leur valeur.
