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- Jamie Dimon compare l’achat de Bitcoin à fumer une cigarette, affirmant qu’il défendra le droit de chacun à acheter du Bitcoin, bien qu’il n’en achètera jamais personnellement.
- Il réitère ses critiques sur l’utilisation de crypto monnaies pour des activités illégales, comme le financement du terrorisme.
- Il conseille à la Réserve Fédérale d’attendre jusqu’en juin pour réduire les taux d’intérêt, soulignant l’importance de la lutte contre l’inflation.
Jamie Dimon, le PDG de JPMorgan, a récemment fait des déclarations remarquées concernant le Bitcoin, oscillant entre une défense du droit à l’achat de la crypto monnaie et une critique persistante de son utilisation.
Jamie Dimon : Un changement d’avis sur Bitcoin ?
Jamie Dimon a illustré sa position en comparant l’achat de Bitcoin à la décision de fumer une cigarette, soulignant qu’il défendrait le droit de chacun à faire de telles choix, même s’il ne partage pas ces préférences.
Je défendrai votre droit de fumer une cigarette, tout comme je défendrai votre droit d’acheter du Bitcoin.
Jamie Dimon, PDG de JPMorgan
Cette déclaration lors d’une apparition vidéo au sommet des affaires de l’Australian Financial Review représente la déclaration la plus positive du PDG envers la crypto monnaie. Cependant, il a clairement indiqué qu’il n’achèterait jamais personnellement de Bitcoin, le considérant comme un risque pour les investisseurs.
Fraude et terrorisme : L’argument de l’usage illégal de Bitcoin
Jamie Dimon a renouvelé ses critiques concernant l’utilisation de la crypto monnaie pour des activités illégales, telles que la fraude et le terrorisme. Ces commentaires réitèrent la position qu’il a maintenue au fil des ans, marquant une constance dans sa méfiance envers Bitcoin. Malgré une apparente ouverture à la liberté individuelle d’investir dans la cryptomonnaie, sa vision reste profondément sceptique quant à sa valeur et à son utilité légitime.
Sur un sujet plus large touchant l’économie américaine, Jamie Dimon a conseillé à la Réserve Fédérale d’attendre jusqu’en juin avant de réduire les taux d’intérêt, pour s’assurer de l’efficacité de sa lutte contre l’inflation.
