- Finst arrive en France avec des frais fixes de 0,15 % sur 340 cryptomonnaies, sans spread ni frais cachés, promettant un coût bien inférieur à la concurrence.
- La plateforme propose dépôts SEPA gratuits, retraits vers wallets privés, staking sur 7 cryptos, bundles automatiques, DCA et un support client francophone complet.
- Régulée via la licence MiCA de l’AFM et soutenue par Deribit et d’anciens fondateurs de DEGIRO, Finst vise à devenir le leader européen de l’investissement crypto d’ici cinq ans.
Cet article vous est proposé à l’aide d’un communiqué de presse partagé par Finst. (en savoir plus)
Des tarifs qui cassent le marché
Investir en crypto en France coûte cher. Entre spreads gonflés et commissions opaques, les particuliers paient souvent dix fois plus qu’ils ne devraient. Finst, déjà incontournable aux Pays-Bas, veut changer la donne. La plateforme annonce son arrivée en France avec une offre simple : 0,15 % de frais fixes sur 340 cryptomonnaies. Pas de spread, pas de frais cachés.
Concrètement, un achat de 1 000 € de Bitcoin revient à 1,50 € chez Finst, contre environ 22 € chez la concurrence, selon une étude interne. Une différence qui parle d’elle-même dans un marché où chaque point de frais peut grignoter le rendement.
Une plateforme pensée pour l’investisseur français
L’offre est large : 340 cryptos en euros, plus de 115 000 paires disponibles, dépôts et retraits gratuits via SEPA instantané, transferts externes vers wallets privés, staking flexible sur 7 cryptos, et même des bundles rééquilibrés chaque mois pour diversifier sans effort.
Les investisseurs réguliers trouveront aussi des plans programmés (DCA), permettant d’acheter automatiquement à la fréquence voulue. En parallèle, un service client francophone accessible par téléphone, mail ou chat vient renforcer la promesse d’accessibilité.
Institutionnels et traders confirmés ne sont pas oubliés : Finst met en avant une API robuste pour gérer liquidité et exécutions à grande échelle.
Transparence et sécurité comme piliers
Dans un contexte où la confiance reste fragile, Finst insiste sur son modèle. Les fonds des clients sont ségrégués via une entité dépositaire, conservés 1:1, et les liquidités stockées chez la banque néerlandaise bunq. La plateforme a été pionnière aux Pays-Bas en publiant une preuve de réserves vérifiée par un auditeur indépendant.
Autre atout : la régulation. Finst est l’une des premières plateformes européennes à décrocher la licence MiCA délivrée par l’Autorité des Marchés Financiers néerlandaise (AFM). Un sésame qui ouvre directement les portes du marché européen.
Objectif : devenir la référence crypto en Europe
En moins de trois ans, Finst a multiplié par 15 son chiffre d’affaires et traité près de 8 millions de transactions, soit plusieurs milliards d’euros échangés chaque année. Avec le soutien d’investisseurs comme Deribit et d’anciens fondateurs de DEGIRO, la plateforme vise désormais haut : s’imposer comme leader européen d’ici cinq ans.
Les investisseurs français méritent une plateforme où sécurité, transparence et tarifs compétitifs sont la norme.
Julien Vallet, PDG et co-fondateur
Un message clair, qui résonne à l’heure où la concurrence peine à convaincre sur la question des frais.
Finst ne cache pas son ambition : transformer la façon dont les particuliers accèdent à la crypto en Europe, comme elle l’a déjà fait aux Pays-Bas. Les prochains mois diront si ce nouveau modèle séduit enfin un marché français longtemps frustré par les coûts et le manque de clarté.
