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Des vagues d'inquiétude ont traversé la communauté crypto après que Lee Bok-Hyeon, le directeur du Service de supervision financière sud-coréen, a exprimé son intention d'examiner le SUI, un token blockchain développé par d'anciens employés de Meta. Le principal point d'attention ? Enquêter sur une éventuelle inflation délibérée de l'offre du token. Cette suspicion émane de BlockMedia, alléguant des tactiques de manipulation possibles, telles que le staking ou une divulgation inéquitable, utilisées par l'équipe de Sui. La conséquence directe de cette nouvelle a été un coup dur pour la valorisation du token, chutant de près de 10% sur la journée.
La Fondation Sui souhaite répondre aux déclarations infondées et matériellement fausses concernant l'approvisionnement en jetons SUI. Contrairement à de récentes conjectures, il n'y a jamais eu de vente de jetons SUI par la Fondation après les distributions initiales du Programme d'accès communautaire (CAP).
Fondation Sui
En réponse directe à ces graves allégations, la Fondation Sui, par une communication officielle, a fermement réfuté les accusations. La fondation a souligné son engagement indéfectible envers la transparence et l'exactitude, en particulier pour afficher le calendrier d'approvisionnement en circulation sur leurs plateformes publiques. Elle a en outre clarifié qu'après les distributions initiales du Programme d'Accès Communautaire (CAP), il n'y a eu aucune instance de liquidation des tokens SUI par la fondation.
L'affirmation de la fondation de ne pas vendre de récompenses de staking ou de tokens provenant de SUI staké verrouillé prend plus d'importance compte tenu des critiques passées. Notamment, en juin, l'entreprise a dû répondre aux accusations du chercheur DeFi, DefiSquared, qui affirmait que SUI avait dénaturé les émissions de tokens et vendu des jetons sur Binance.
